[…] En tant que plasticien, j’aime me moquer poliment de ces sensations que nous sommes sensés ressentir lorsque certains artistes n’ont plus rien à dire. Attiré par les choses que l’on étiquettera d’inclassable ailleurs, mes recherches n’ont pas peur de la défaite cérébrale. Cela me permet de naviguer dans des sphères de connaissances ennivrées, auto-référencées où je me sens bien. A ce sujet, avez-vous déjà entendu parler de la non-évolution ? L. P.