[…] La nature n’a pas besoin de moi pour se rendre visible, pour exposer sa profonde cohérence, pour parler. Alors pourquoi la photographier ? Pour faire du paysage ? Si le paysage, aussi envoûtant et surprenant et mystérieux soit-il, préexiste à ma photo, quel intérêt à le montrer ? Je ne veux pas montrer, je veux dire. A. B.